À l’essai : du bikepacking avec des casques de vélo Lazer

Un Belge et une Luxembourgeoise partent faire du vélo ensemble. Cela ressemble peut-être au début d’une blague, mais c’est le début d’un test de trois jours. Pendant l’Explore Camp, ils partent en bikepacking en Istrie le long d’une ancienne ligne de chemin de fer, aujourd’hui devenue un lieu de prédilection pour les vététistes et adeptes du gravel. Jonathan et Laetitia fixent leurs casques de vélo, prêts à commencer la randonnée à vélo.

« De l’ultracyclisme au Granfondo en passant par les trajets du quotidien : un bon casque est indispensable pour chaque sortie à vélo », estime Laetitia. « De préférence, un modèle tellement confortable que vous en oublierez sa présence. » C’est la raison pour laquelle elle porte un Cerro KinetiCore de Lazer couleur taupe et Jonathan un Tonic KinetiCore de Lazer noir mat.

Lors de ce bikepacking, ils roulent sur des chemins cahoteux en terre battue. Ils peuvent ainsi bien tester le casque dans des situations difficiles. Le confort dépasse leurs attentes. Pour Jonathan, le poids est son principal atout : « Le casque est ultraléger. Vous le sentez à peine. »

Laetitia confirme avec enthousiasme : « Il est très confortable et ne laisse aucune marque sur le front, même après plusieurs heures. Et une fois fixé sur la tête, il ne bouge pas, même sur les chemins les plus cahoteux. »

Le soleil brille sur la péninsule croate. Le mercure grimpe tandis que le duo roule sur des routes en terre battue. « Mes précédents casques de vélo me donnaient rapidement chaud », note Jonathan. « Des gouttes de sueur me tombaient dans les yeux. C’était douloureux et extrêmement gênant à vélo. » Malgré le temps ensoleillé, son casque Lazer ne lui donne pas trop chaud : « Les 18 trous de ventilation assurent une bonne aération. »

« Le casque affiche un design sportif qui s’adapte bien à la tête », ajoute-t-il. « Lors de mes précédentes sorties en bikepacking, j’enlevais souvent mon casque pour prendre une photo. Je ne l’ai pas fait avec celui-ci – son beau design y est certainement pour quelque chose. »

Le chemin les conduit à travers des forêts verdoyantes, le long d’oliviers et sur un viaduc photogénique avec un ravin en contrebas. Ils s’arrêtent brièvement devant un ancien tunnel ferroviaire. Avant de s’enfoncer dans l’obscurité, Laetitia retire ses lunettes de cyclisme des fentes et les retourne. « Cela m’évite de devoir les ranger et elles restent bien en place, même sur les tronçons cahoteux », explique-t-elle. « Et cela ne vaut pas seulement pour les lunettes de cyclisme », ajoute Jonathan, « car mes lunettes de vue ne sortent pas non plus de ces fentes. »

Les lunettes et le casque restent dès lors toujours bien en place. « La combinaison du système d’ajustement vertical et de la molette est un succès ! Vous pouvez ainsi vraiment l’ajuster parfaitement », souligne-t-il. « Je peux même me faire un chignon et porter le casque confortablement – je trouve que c’est un grand avantage pour les personnes aux cheveux longs. »

La grande nouveauté de ce casque est qu’il est équipé de la technologie KinetiCore qui vous protège de l’impact en cas de chute. Si vous êtes victime d’un choc violent à la tête lors d’un accident de vélo, votre cerveau peut être touché. Mais grâce à la technologie KinetiCore, les zones de déformation spéciales se déforment, comme leur nom l’indique, afin d’absorber l’énergie – au lieu de la transmettre au cerveau du cycliste. « Le principe est similaire à la technologie MIPS existante, mais les casques Lazer coûtent moins cher que ceux équipés de la technologie MIPS », explique Laetitia.

« J’étais sceptique au départ », avoue-t-elle, « mais je dois admettre que c’est vraiment un progrès ! En effet, le casque est plus léger et mieux ventilé grâce à cette technologie qui a également un impact moindre sur l’environnement, car elle utilise moins de plastique que la technologie MIPS. » Elle montre l’icône K verte : « Voilà comment reconnaître un casque KinetiCore. »

Autre atout selon Jonathan : la doublure du casque est amovible et lavable. « Sinon, votre casque empeste après quelques heures : pensez aux odeurs de sueur séchée et de crème solaire. Vous voulez vraiment éviter ce problème lorsque vous partez plusieurs jours. Croyez-moi, je sais de quoi je parle. » (rit)

Jonathan approuve pleinement le casque. « Confort, légèreté, fentes pour maintenir les lunettes en place, facilité d’entretien… Il y a peut-être encore une petite marge d’amélioration pour la visibilité – comme un feu arrière intégré – mais à part cela, je pense que c’est le casque idéal pour le bikepacking. »

Laetitia est également convaincue. « Le casque est parfait pour une utilisation tout-terrain, mais aussi pour les randonnées sur des routes asphaltées étroites et les sorties en famille sur des pistes cyclables larges. Un seul casque suffit ainsi pour chaque type de randonnée à vélo. Pratique ! »